Ces dernières semaines les médecins ne cessent d'alerter sur le lien entre complications du coronavirus et surpoids : la plupart des personnes qui sont admises sous respirateur et plongées dans le coma souffrent d'obésité.
Comment l'expliquer ?
Principalement car le surpoids provoque des maladies telles que le diabète, l'hypertension, les problèmes cardio-vasculaires ; mais surtout, le surpoids est du à une consommation excessive de sucre qui perturbe notre système endocrinien, dérègle le métabolisme et nous mène à l’addiction.
Contrairement aux croyances bien établies, le surpoids n’est en rien un problème de volonté. Sinon, comment expliquer que des personnes bien établies dans leur vie privée ou professionnelle, capable de prise de décision souffrent de surpoids ? Comment ces personnes qui dirigent parfaitement leur vie ne parviennent-elles pas à maigrir ?
Surtout que la croyance populaire déclare que « maigrir c’est facile : il suffit de faire du sport et de manger moins gras. »
Soyons clair : cette croyance héritée des années 70/80 est totalement fausse.
Faire du sport aide à se porter mieux, à créer de la masse musculaire, à améliorer la circulation sanguine, à mieux respirer. Les effets du sport sont importants car outre la consommation de calories, il contribue à secréter les hormones du bonheur : endorphines, noradrénaline, adrénaline, dopamine permettent de bruler les graisses et de se sentir mieux émotionnellement. Faire du sport permet donc d’être en meilleure santé. Il aide aussi à affiner la silhouette.
Mais cela ne règle pas le problème de poids si la personne est obèse car pour maigrir il faut faire tellement d’heures de sport et dépenser tellement de calories que c’est juste impossible pour la majorité des gens. Ainsi pour dépenser 300 calories soit ½ part de gâteau au chocolat, il faut faire de 30 minutes à 1 heure de vélo elliptique suivant la vitesse qu’on y met.
Moralité : il vaut mieux éviter le gâteau au chocolat.
En réalité, depuis environ 40 ans l’obésité est un véritable fléau qui se propage depuis le monde occidental vers l’ensemble de la planète.
Dans les années 80, les médecins voulant lutter contre l’augmentation des crises cardiaques ont décrété que le responsable était le cholestérol et le gras ; ce faisant ils nous ont invité à changer d’alimentation ; supprimer le gras (huile, poisson et viandes dites grasses) au profit de céréales et autres glucides. L’industrie agro-alimentaire a été incitée à proposer d’autres catégories d’aliments soi-disant bons pour nous tels que les céréales et le pain de mie. Dans le même temps de plus en plus de personnes se sont mises à déjeuner à l’extérieur le midi ; le temps dédié à la préparation des repas s’est réduit ; progressivement les plats cuisinés ont pris de plus en plus de place dans la vie de beaucoup de familles. Au prétexte de nous faciliter la vie, l’industrie agro-alimentaire nous a proposé des plats tout prêts remplis de sucre pour donner du goût. La consommation d’eau a diminué au profit des sodas et des sirops. Le grignotage s’est répandu grâce aux incitations publicitaires ; l’intérêt financier des multinationales alimentaires est passé avant la santé des êtres humains ; après avoir installé ces changements d’alimentation en occident, ces dernières années cette industrie s’est attaquée aux pays plus pauvres.
La recette est simple : faire en sorte que le monde entier se nourrisse de plats pas chers, tout préparés, remplis de sucre pour leur donner du goût en coutant peu chers. Et ainsi faire des bénéfices énormes.
Or le sucre est addictogène ; des chercheurs ont établi que si l’on donne le choix à des souris entre une eau sucrée et une eau avec de la cocaïne, très rapidement les souris choisissent l’eau sucrée. Le sucre est donc pire que la cocaïne en matière d’addiction. Ceci explique la difficulté des alcooliques à se désintoxiquer, l’alcool produisant du sucre.
Outre son pouvoir addictogène le sucre détruit l’immunité en abimant les bonnes bactéries présentent dans notre intestin. Les chercheurs ont ainsi démontré sur 3 générations de souris que la consommation importante de sucre détruit totalement le microbiote intestinal à la 3ième générations. Le facteur familial est alors installé. La pulsion de sucre devient héréditaire et l’immunité se fait inexistante.
Si nous ne réagissons pas, dans 2 générations nos enfants n’auront plus aucunes défenses immunitaires.
On suppose aussi que la consommation de sucre contribue à la prolifération des cancers, favorise la dépression en déstabilisant le système émotionnel sous l’effet de l’addiction. Il perturbe aussi le fonctionnement digestif, assèche la peau, abime le pancréas ce qui, à la longue, engendre le diabète de type 2.
On comprend mieux ainsi pour quelles raisons les personnes atteintes de ces pathologies, d’obésité et touchées par le coronavirus se retrouvent en détresse respiratoire.
Leur système immunitaire, trop abimé par la consommation de sucre, n’est plus capable de réagir correctement ; il s’emballe souvent au bout de 8 à 10 jours et la personne décède indirectement du coronavirus mais directement d’un emballement du système immunitaire.
COMMENT POUVONS-NOUS VOUS AIDER ?
Sophrologie, hypnose et amaigrissement
En établissant un état des lieux de votre façon de vous alimenter, de votre état émotionnel, de votre vécu, de vos blessures qui ont favorisé la prise d’aliments sucrés (comme une recherche de réconfort, un soutien) je vais pouvoir ensuite vous proposer des pratiques d’état modifié de conscience et de PNL (programmation neuro-linguistique) qui vous permettront de changer vos façons de vous alimenter.
Progressivement vous constaterez qu’il est possible grâce à un accompagnement totalement personnalisé :
- De manger autrement.
- De refaire (ou faire) du sport pour vous aider à mincir.
- De pratiquer régulièrement à domicile des relaxations qui vous permettront de vous sentir plus serein.
Progressivement vous atteindrez un poids de forme et surtout, contrairement aux régimes traditionnels vous ne reprendrez pas les kilos perdus.
Car vos difficultés psychologiques auront été traitées ce qui n’est jamais le cas avec un simple régime.
Massages bien-être et amaigrissement
Un angle complémentaire plus physique vous aidera à maigrir en vous relaxant et en relançant l’énergie dans votre corps.
Les massages bien-être tels que le californien (source de détente profonde, de régulation de l’humeur) le massage chinois (qui favorise le renforcement du système immunitaire et la régulation de la digestion donc de l’élimination des graisses) ou enfin le massage ayurvédique qui dynamise, vous permettront de gérer les périodes où vous aurez besoin de réconfort que vous ne trouverez plus dans la prise de sucre.
Dans tous les cas, démonstration est faite avec cette pandémie que le surpoids est aussi dangereux que le diabète ou des problèmes cardiaques.
Mais contrairement à ces pathologies, il n’existe aucun médicament pour maigrir et ceux qu’on a voulu nous vendre comme des remèdes miracles à nos problèmes de poids ont largement démontré leurs effets secondaires (ex : le médiator).
Les régimes alimentaires ont également pour la plupart des gens démontrés leur inutilité. Quant aux plats tout prêts, vantés depuis quelques années par certaines sociétés, ils coutent une fortune, vous rendent dépendants à ces plats car ils ne vous apprennent pas à cuisiner. Et surtout ils ne comportent pas les nutriments dont le corps à vraiment besoin ; il faut dans tous les cas les compléter par des fruits et des légumes ce qui rend la facture encore plus salée. Sans aucune garantie de résultat à long terme.
Dans ces conditions un vrai travail sur soi reste la seule solution efficace pour régler définitivement ce problème de santé publique.
N’hésitez pas à me contacter même en cette période de confinement : il est possible de débuter ce type de travail en visio.
Véronique